Les placements financiers

L’assurance vie peut aussi bien être utilisée pour faire face à des dépenses imprévues, se constituer un apport personnel en vue d’une acquisition immobilière, payer les études de ses enfants, générer un complément de revenu pour la retraite, financer sa future dépendance ou encore préparer sa succession. Ce n’est pas pour rien qu’on l’appelle également « le couteau suisse de l’épargne » (voir Assurance-vie)

Le contrat de capitalisation est proche de l’assurance-vie en ce qui concerne la valorisation d’un capital dans un cadre juridique et fiscal privilégié.

Pour autant, quelques différences sont à noter :

• possibilité de donner le contrat de capitalisation de son vivant ou de le léguer;
• en cas de décès du souscripteur et seulement si le contrat de capitalisation n’a pas fait l’objet d’une donation, il est transmis aux héritiers comme tout autre actif de succession;
• le contrat de capitalisation a une durée limitée (30 à 40 ans maximum).

Le contrat de capitalisation permet de valoriser un capital , de capitaliser des revenus, de manière plus ou moins sécuritaire. Il offre une très grande variété de supports d’investissement ainsi qu’une possibilité d’arbitrage à l’intérieur du contrat, sans incidence fiscale.

Le PEA assurance est souscrit auprès d’une société d’assurance dans le cadre d’un contrat de capitalisation en unités de compte, excluant les titres et valeurs en direct. Contrairement à un PEA classique, il offre les moyens :

• de continuer à profiter de la fiscalité du contrat de capitalisation en cas de clôture anticipée de votre PEA.
• de bénéficier d’une avance ponctuelle de liquidités à tout instant et sans conséquence fiscale.

Les Fonds d’Investissement de Proximité (FIP) et les Fonds Communs de Placement dans l’Innovation (FCPI) permettent d’investir dans le capital de PME et de bénéficier d’importants avantages fiscaux sous respect de certaines conditions. 

L’investissement en FCPI et FIP permet de diversifier le patrimoine grâce à une présence en bourse, par le biais des OPCVM, et dans le capital de sociétés françaises.

Les FIP et les FCPI ont plusieurs points communs mais se distinguent dans le type d’entreprises financées.